Nous menons depuis quelques années une recherche sur les emprunts de références entre les arts, qu’il s’agisse de citations, de reprises explicites ou de simples clins d’œil discrets, voire inconscients.
Certaines de nos installations donnent par exemple à voir l’irruption d’une œuvre d’art dans une scène de film et donc la relation entre un tableau et la fiction qui l’accueille. En effet, nous récoltons des passages de film où un chef d’œuvre de la peinture se retrouve dans une cuisine, au-dessus d’un lit, sur un calendrier, une tasse, dans un sujet de conversation, dans un nouveau cadre fictionnel qui la charge d’un nouveau sens. Cette immense collection (plus d’une centaine de passages) convoque aussi bien des films de la Nouvelle Vague que des comédies, des westerns ou de la science-fiction pour dresser une sorte d’histoire de l’art incomplète, par fragments et arrières-plans. Les hommages peuvent y êtres très beaux, mais aussi parfois ratés, poseurs, ou de très mauvais-goût.
Nous menons depuis quelques années une recherche sur les emprunts de références entre les arts, qu’il s’agisse de citations, de reprises explicites ou de simples clins d’œil discrets, voire inconscients.
Certaines de nos installations donnent par exemple à voir l’irruption d’une œuvre d’art dans une scène de film et donc la relation entre un tableau et la fiction qui l’accueille. En effet, nous récoltons des passages de film où un chef d’œuvre de la peinture se retrouve dans une cuisine, au-dessus d’un lit, sur un calendrier, une tasse, dans un sujet de conversation, dans un nouveau cadre fictionnel qui la charge d’un nouveau sens. Cette immense collection (plus d’une centaine de passages) convoque aussi bien des films de la Nouvelle Vague que des comédies, des westerns ou de la science-fiction pour dresser une sorte d’histoire de l’art incomplète, par fragments et arrières-plans. Les hommages peuvent y êtres très beaux, mais aussi parfois ratés, poseurs, ou de très mauvais-goût.
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